
"Murmures et secrets de la Vanéra : un voyage dans le passé"
J'ai le plaisir de vous annoncer la sortie de mon premier livre, co-écrit avec mon amie Mylène Casals.
Ce livre retrace la vie d'ancêtres ayant vécu en Cerdagne, dont certains ont connu une destinée favorable et fait fortune, tandis que d'autres ont laissé des secrets jamais révélés.
N'hésitez pas à vous le procurer et à en savoir plus en cliquant sur la photo ci-dessous.
Vous pouvez le trouver :
Sur le site de notre maison d'édition en cliquant [ici]
Dans toutes les librairies francophones, sur commande, ainsi que sur Internet (Amazon, Cultura, Fnac, etc.)
À la Maison de la Presse à Font-Romeu, ainsi qu'à Carrefour Market à Ur
Merci à tous pour votre soutien !
Nouvelle parution : "L'incroyable parentèle des forgerons de renom"
Je suis ravie de vous présenter mon tout nouveau livre, "Les Secrets de Gincla", dans lequel je vous invite à découvrir l’histoire fascinante de plusieurs familles ayant marqué le petit village de Gincla, une charmante commune de la Haute Vallée de l'Aude.
Cet ouvrage plonge dans les racines profondes de ce village, où des familles au patronyme ancien, traversant les siècles du XVIIe au XXe, continuent de perpétuer leur histoire. Des forgerons, voituriers, bucherons et charbonniers venus des quatre coins de la France sont venus chercher leur fortune, pour certains, dans les forges réputées de Gincla. Beaucoup d’entre eux ont fait souche en épousant des natifs du village, donnant ainsi naissance à des lignées encore présentes aujourd'hui.
Au cœur de cette aventure généalogique, nous explorerons notamment l’histoire de la famille Renon. Une famille apparemment ordinaire, mais qui, à travers les siècles, a vu ses membres se mêler sans le savoir, pour finalement se retrouver liés par les liens du sang. Une histoire de cousins inattendus, tissée au fil des générations.
Comme mes précédents ouvrages, ce livre est disponible à la vente sur Internet, sur le site des éditions Alexandra de Saint-Prix, et sera bientôt disponible à la commande dans toutes les librairies. Vous pourrez également le trouver dans les librairies francophones ainsi que dans les maisons de la presse.
Merci infiniment pour votre fidélité. J’espère que ce voyage dans le passé vous enthousiasmera autant que j’ai eu de plaisir à le partager avec vous !
À très bientôt.
Compteur de visites
Vous êtes le ème visiteur
- Accueil /
- GENEALOGIE AUTRES PERSONNALITES
GENEALOGIE AUTRES PERSONNALITES
Pour une recherche plus rapide et pour faciliter votre visite je vous propose en début de page un petit sommaire de ces personnalités déja étudiés
Félix Armand page 1
FELIX ARMAND
Tout le monde connait le curé qui fut rendu célèbre par le tunnel qu'il a creusé dans les gorges de la Pierre-Lys appelé le "Trou du curé" et dont sa biographie a été plusieurs fois évoquée sur de nombreux sites en voici un http://limoux.pagesperso-orange.fr/bioArmand.htm
Voici le célèbre tunnel creusé dans roche par Félix Armand et les habitants des villages environnants
Mais sa généalogie ascendante est moins connue. Je vous propose de la découvrir en cliquant sur télécharger .
Au fur et à mesures des recherches son arbre sera actualisé (cliquez sur le lien ci-dessous )
Arbre f armand cure (736.43 Ko)
Concernant l'abbé Félix Armand un article parlant de lui vient de paraitre sur l'indépendant du 8 avril 2018
BÉRANGER SAUNIÈRE (1852-1917)
Bérenger Saunière, fils de Joseph Saunière et de Marguerite Madeleine Hugues, est originaire de Montazels, un petit village de la Haute Vallée de l'Aude. Il est devenu célèbre pour l'énigmatique affaire du trésor de Rennes-le-Château, une histoire fascinante mêlant mystère et ésotérisme. De nombreux ouvrages et sites internet ont exploré les multiples facettes de cette affaire.
Plutôt que de revenir sur ces récits bien connus, mon travail s'est concentré sur un aspect souvent négligé : sa généalogie personnelle et familiale. Dans mon livre Et si le secret de Rennes-le-Château était dans la généalogie ?, j'explore les liens familiaux de Saunière et mets en lumière des connexions inédites avec d'autres figures majeures de l'affaire.
Je vous invite à cliquer sur le lien ci-dessous pour découvrir l’ascendance de l’abbé Saunière.
Arbre beranger sauniere 1 (1.13 Mo)
Découverte d'un nouveau lien de parenté entre les familles Gélis et Saunière
Je viens de découvrir un nouveau lien de parenté entre les familles Gélis et Saunière. Si vous avez lu mon livre intitulé Et si le secret de Rennes-le-Château était dans la généalogie ?, vous avez sans doute remarqué une dualité presque constante, avec des personnages récurrents tels que deux abbés Bigou, deux abbés Saunière, deux abbés Boudet, deux abbés Gélis, etc. De plus, des liens de parenté persistent entre certains des protagonistes de cette affaire familiale à Rennes-le-Château.
Un nouveau lien entre les familles Pagès, Gélis et Saunière
Mes recherches généalogiques récentes m'ont conduit, par pur hasard, à découvrir un nouveau lien de parenté entre les familles Pagès, liées à la fois aux Gélis et aux Saunière.
Nous savons qu'une nièce de l'abbé Gélis, prénommée Marie-Antoinette Malot, était mariée à Joseph Pagès, originaire du village de Coustaussa. Ensemble, ils eurent au moins deux enfants, dont un, Ernest Achille Frédéric Pagès, qui fut un temps accusé du meurtre de son oncle, Antoine Gélis. Ernest Achille épousa par la suite Léocadie Justine Denarnaud.
Le nom "Denarnaud" est bien connu, puisqu'il est celui de la servante de Saunière, et il apparaît également dans la famille Gélis, établissant ainsi un nouveau lien de parenté entre toutes ces familles.
Par ailleurs, un autre membre de la famille Pagès se retrouve dans la généalogie de Saunière. En effet, Bérenger Saunière avait une sœur, Mathilde Joséphine Saunière, qui épousa Jean-François Oscar Pagès. De leur union naquirent deux filles, Fernande et Berthe, qui portaient le nom de Pagès et étaient donc les nièces de Bérenger Saunière.
Un ancêtre commun confirmé
Ces recherches m'ont poussé à approfondir mes investigations afin de déterminer s'il existait un lien de parenté entre ces deux branches Pagès. Certains pourraient objecter que cela semble peu probable, car la famille Pagès de Coustaussa et celle de Montazels semblaient distinctes.
Cependant, après plusieurs mois d'analyse, il apparaît que ces deux familles partagent un ancêtre commun : Antoine Pagès et Bernadette Bausso, originaires de Montazels. Ce couple constitue l'origine des deux lignées Pagès qui se retrouvent impliquées dans les liens avec les familles Gélis et Saunière.
Ainsi, selon le célèbre adage : "Nous sommes tous cousins". Ce nouvel élément vient renforcer l'idée d'un réseau familial dense lié à l'affaire de Rennes-le-Château, et il ouvre la porte à de nouvelles pistes de recherche.
Arbre ancetre commun pages (24.7 Ko)
AUTRE LIEN DE PARENTE CONFIRME
Dans le paragraphe précédent, il était mentionné que le neveu de l'abbé Antoine Gélis, Ernest Achile Pagès, avait épousé une jeune fille du nom de Léocadie Justine Denarnaud. Cependant, aucune information ni aucune filiation n'apparaissaient jusqu'à présent permettant de faire une comparaison entre Marie Denarnaud, notre servante bien connue, et cette jeune fille portant le même nom.
Après des recherches plus approfondies et une consultation des registres d'état civil, il apparaît que Léocadie Justine Denarnaud est née à Rennes-les-Bains, tout comme son père Philippe. L'ascendance de cette famille Denarnaud remonte ainsi à Pierre Denarnaud (1703) et Marie Péchou, les ancêtres les plus anciens mentionnés dans cet arbre généalogique.
Ce couple eut deux enfants : François, qui donnera l'ascendance de Léocadie Denarnaud, et Jean-Pierre, son frère, qui aura une fille qui épousera Pierre-Jean Olivier. Le frère de ce dernier, Antoine Olivier, épousera quant à lui Anne Denarnaud. Ce dernier n'est autre que l'arrière-grand-père de Marie et va constituer la descendance de notre chère servante.
Nous en concluons que Léocadie Justine Denarnaud et Marie Denarnaud étaient cousines, comme le montre la fiche ci-jointe ci-dessous, bien qu'il est possible qu'elles n'aient jamais eu connaissance de ce lien de parenté. Une question demeure cependant : se connaissaient-elles ?
CLEMENTINE DELAIT (FEMME A BARBE)
Clémentine Delait née Clémentine Clattaux le 5 mars 1865 à Chaumousey (Vosges), fut une tenancière de bar, et fut plus particulièrement connue pour être une femme à Barbe.
C'est dès sa puberté, que sa pilosité commence à se développer plus que la normale, du coup, elle est obligée de se raser fréquemment.
C'est le 25 avril 1885, à l'âge de 20 ans qu'elle épouse à Chaumousey Joseph Delait Boulanger à Thaon les bains. Elle attire beaucoup de monde à cause de sa barbe rasée. C'est aussi à cette époque que son mari est atteint de rhumatismes, et ne peux plus exercer son métier. Alors ils décident d'ouvrir toujours à thaon les bains un café. Clémentine est tenancière de bar, et là aussi la clientèle est nombreuse.
En 1901, le couple se rend à la foire de Nancy, où elle rencontre un "baratineur " de foire et là, elle et son mari assistent à une attraction concernant une autre femme à barbe. Cette dernière ne put s'empêcher de remarquer à haute voix l'abondante pilosite de Clémentine malgré son rasage.
Racontant alors l'anecdote à des clients de son bar, elle accepte le pari de l'un d'entre eux et se laisse pousser la barbe.
Attirés par ce curieux évènement, et venant de partout, tout le monde se presse au café de clémentine surnommé alors "le café de la femme à barbe" pour y admirer Clémentine. Profitant de cette opportunité, elle pose contre rémunérations pour des photographes, des journalistes et signe aussi des authographes. Elle devient célèbre, et elle s'engage aussi à la "Croix-Rouge" pendant la première guerre mondiale. Elle devient aussi la mascotte des "poilus". En cette période de guerre, elle et son mari adoptent Fernande, une orpheline de guerre âgée de cinq ans.
Elle commence à voyager en Europe où de nombreuses personnalités la réclament comme le prince de Galles dans les années 1920 à Londres, mais aussi le chah de Perse à Vittel (Vosges).
En 1928, son mari joseph décède. Elle est alors veuve et là elle se consacre pleinement à sa célébrité en réouvrant un autre bar, où elle va présenter des spectacles de cabaret.
Elle décède à Epinal, le 19 avril 1938 à l'âge de 74 ans, d'une crise cardiaque.
Il est gravé sur sa tombe à sa demande :
"Ci-gît Clémentine Delait, femme à barbe".
Rosa Noémie Emma Calvet, dite Emma Calvé est une cantatrice française (soprano), née à Decazeville (Aveyron) le et morte à Millau (Aveyron) le .
Elle s'illustra notamment dans le rôle-titre de Carmen de Georges Bizet.
Née à Decazeville et élevée dans les Causses du Larzac dont elle aura toute sa vie la nostalgie, elle suit les cours de Mathilde Marchesi et de Rosine Laborde à Paris et les derniers cours de Jean-Baptiste Caylus à Bruxelles où elle débute à La Monnaie en 1882 dans le rôle de Marguerite de Faust.
À partir de 1892, elle chante régulièrement au Royal Opera House de Londres et au Metropolitan Opera de New York. Elle crée le rôle de Suzel dans L'amico Fritz de Mascagni à Rome, le 1.
Sa large tessiture lui permet de passer des emplois de soprano lyrique à ceux de soprano dramatique. Massenet crée pour elle le rôle d'Anita dans La Navarraise et lui confie celui de Sapho dans l'opéra du même nom. Carmen, qu'elle chante plus de mille fois, suffit à établir sa célébrité, notamment aux États-Unis. Elle entonne ainsi la Marseillaise à New York en 1916, devant 30 000 personnes.
Adulée dans le monde entier, Calvé vit « comme une reine ». Elle chante en Inde, au Japon, en Australie. Elle fréquente régulièrement le salon littéraire de Geneviève Halévy où elle rencontre Réjane, Lucien Guitry et le romancier Paul Bourget. On trouve même sa photographie dans les tablettes de chocolat Poulain. C’est en 1904, à l’occasion de la millième de Carmen, qu’elle renonce à l’opéra, tout en continuant jusqu’en 1926 à donner des concerts dans le monde entier.
C'est pourtant dans le dénuement qu'elle meurt, après avoir consacré ses dernières saisons à l’enseignement de son art dans le château de Cabrières. près d'Aguessac qu'elle avait acquis en 1894, avant de le revendre à un industriel gantier quelques années plus tard .Elle séjourna à Peyreleau (Aveyron), dans la maison nommée Le Vieux Logis de 1935 à 1939.
Réputée pour sa personnalité dynamique, passionnée d'hindouisme et d'occultisme2, elle passe pour fréquenter le cabaret du Chat Noir, à Paris, en compagnie de Mucha, de Papus, qui en 1893 l'initie au martinisme, et de Camille Flammarion.Elle vécut une longue liaison tumultueuse avec l'écrivain Jules Bois. Elle avait été faite en 1931 Chevalier de la Légion d'honneur
Source wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Emma_Calv%C3%A9
Voici une vidéo où l'on peut entendre sa voix :
Arbre genealogique d emma calve 1 (226.5 Ko)
JOSEPH FERDINAND CHEVAL
dit "FACTEUR CHEVAL"
Joseph Ferdinand Cheval appelé aussi Ferdinand ou le "Facteur CHEVAL" nait le 19 avril 1836 à Charmes sur l'Herbasse (dans la Drôme). Il est le fils de François Cheval et de Rose Sibert, tous deux cultivateurs dans leur village rural.
Il est très jeune lorsqu'il arrête l' école à tel point qu'il sait à peine écrire d'ailleurs bien souvent il écrit phonétiquement. N'empêche qu'il obtient quand même son certificat d'études primaires. C'est à l'âge de 13 ans qu'il devient apprenti boulanger.
A la mort de son père François, il est élevé par son oncle maternel qui va le faire émanciper.
Le 20 mai 1858, il se marie avec Rosalie Revol, qui sera lingère, avec laquelle il aura deux enfants.Ce couple se trouve face à la misère, et du coup, il décide de passer un concours pour rentrer dans l'administration des postes. Il réussit ce concours et devient officiellement facteur en 1867.
Son épouse décède et en 1878, il se remarie avec Claire Philomène RICHAUD, qui lui apportera en dot entre autres une propriété sur laquelle il bâtira son palais.
Tout en faisant sa tournée et en parcourant tous les kilomètres, il n'a qu'un seul rêve : construire un palais féérique et imaginaire. Sans s'en douter son rêve se réalisera une dizaine d'années plus tard.
Un jour d'avril 1879, en faisant sa tournée, il trébuche sur une pierre et à nouveau son rêve lui revient en tête. Et c'est là qu'il décide de faire de son rêve une réalité.
Durant sa tournée, il choisit et entasse des pierres qu'il revient chercher le soir avec sa brouette, qu'il a surnommé sa fidèle compagne de Peine.
Et c'est alors qu'il bâtit son palais durant 33 années de dur labeur.
en 1896, il prend sa retraite et c'est en 1912 qu'il achève son palais qu'il a appelé le "Palais idéal".
Un autre de son souhait aurait été de pouvoir se faire inhumer dans son palais le jour de sa mort, mais ce ne fut pas possible du coup il construit lui même son tombeau au cimetière communal., ce qui lui prendra encore 8 ans de plus, il nommera son tombeau " le tombeau du silence et du repos sans fin"
Il décèdera le 19 Août 1924 et sera donc inhumé dans son propre tombeau, il était âgé de 88 ans.
Cet homme incroyable et extraordinaire méritait bien qu'on lui rende un petit hommage. Merci beaucoup M. CHEVAL !
Ci dessous la vie de cet incroyable personnage en vidéo
Pour en savoir plus sur ses origines ou sa famille ! découvrez son arbre généalogique en cliquant sur le lien ci-dessous
Arbre généalogique facteur cheval (643.42 Ko)
Commentaires (2)

- 1. TEULIERE Eric (site web) | 30/11/2019

- 2. garcia marie | 20/06/2017
bien à vous
Marie
Ajouter un commentaire
Retrouvez moi sur facebook
HUMOUR ET GENEALOGIE
VIDEO INTERVIEW
NOUVEL INTERVIEW SUR LA PARUTION DE MON NOUVELOUVRAGE
Lancement de mon second ouvrage : "Et si le secret de Rennes-le-Château était dans la généalogie ?"
J'ai l'immense honneur de vous annoncer la sortie de mon second livre, intitulé "Et si le secret de Rennes-le-Château était dans la généalogie ?".
Dans cet ouvrage, je vous invite à plonger dans l'histoire mystérieuse de Rennes-le-Château, tout en explorant la généalogie comme clé pour dévoiler certains secrets enfouis depuis des siècles.
N'hésitez pas à vous le procurer et à découvrir les révélations fascinantes qu'il contient.
Vous pouvez le trouver :
Sur le site de notre maison d'édition [ici]
Dans toutes les librairies francophones, sur commande, ainsi que sur Internet (Amazon, Cultura, Fnac, etc.) mais aussi 'à Carrefour Market à Ur et bien sûr à la boutique de Rennes le château ici
Merci à tous pour votre soutien !
Mais, Je réagis sur l'article de l'indépendant, car la date de classement de la route en départementale est beaucoup plus ancienne (cf site https://teuliere.github.io/perso-felix-armand/perso-felix-armand.html)
Elle a même été classée en route nationale à la fin du XIXe siècle.